Tokyo, 2052. Les néons projetaient une lumiere artificielle sur les rues silencieuses. Dans un milieu où la perception du lendemain était devenue une vision des cartésiens maîtrisée, le destin n’était plus une inconnue pour certaines personnes. Grâce à des avancées en neurotechnologie, il était dès maintenant à venir d’altérer la
Tokyo, 2052. Les néons projetaient une eclat artificielle sur les rues silencieuses. Dans un milieu où la pressentiment de l'avenir était devenue une vision de la science maîtrisée, le destin n’était plus une inconnue pour certaines personnes. Grâce à des avancées en neurotechnologie, il était dès maintenant éventuelle d’altérer la
Tokyo, 2052. Les néons projetaient une éclaircissement artificielle sur les rues silencieuses. Dans un système où la conscience du futur était devenue une vision de la science maîtrisée, le destin n’était plus une inconnue pour certaines personnes. Grâce à des avancées en neurotechnologie, il était désormais éventuelle d’altérer
Tokyo, 2052. Les néons projetaient une jour artificielle sur les rues silencieuses. Dans un univers où la connaissance du futur était devenue une vision de la science maîtrisée, le futur n’était plus une inconnue pour certaines personnes. Grâce à des avancées en neurotechnologie, il était désormais possible d’altérer la sentiment de
Les lumières de Tokyo clignotaient dans l’obscurité, projetant des halos diffus sur les rues presque désertes. Dans son bureau encombré d’écrans de données, le voyant analysait les divergences de ses visions récentes. L’algorithme qu’il utilisait pour tempérer la perception de la destinée lui permettait de fasciner la photograhie p